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département des hauts de seine - Page 26

  • COMPTE RENDU DE MANDAT DU CONSEILLER GENERAL DE VANVES

    Pendant 1H30, Guy Janvier, conseiller Général PS a fait un compte rendu de mandat, Jeudi dernier dans les locaux de l’ex-CPAM ayant été transformé en école maternelle pendant le chantier Cabourg,  devant de très nombreux vanvéens qui ont posés beaucoup de questions.

     

    UN OBJECTIF :

    LA RENOVATION DU COLLEGE  ST EX !

     

    « Je suis content d’avoir battu en 2004 et en 2011, Bernard Gauducheau ! » a déclaré Guy Janvier en expliquant pourquoi il avait choisi de « faire monter une personnalité nouvelle à ma place au Conseil municipal de Vanves » en demandant à Valérie Mathey de venir la rejoindre. « Nous allons travailler la main dans la main, avec elle et tous les élus du groupe. Nous avons fait cela collectivement. Nous sommes persuadés que Vanves est reprenable en 2014, en ne refaisant pas les erreurs de la dernière fois » a-t-il indiqué en constatant « que nous avons fait à Vanves le plus grand score aux primaires comme dans les grandes villes de gauche. Il y a un potentiel à Vanves. Il faut s’organiser au-delà de la section ». Valerie Mathey a fait constaté « qu’il y a peu d’hommes politiques qui laisserait un mandat ».

     

    Auparavant, Guy Janvier avait parlé des sujets qu’il suit plus particulièrement au Conseil Général des Hauts de Seine, en présentant ce département, son assemblée départementale, ses compétences … en constatant « qu’il faut changer la donne, car il y a un empiétement des strates », en rappelant qu’il n’a cessé « de demander des évaluations des politiques départementales », en donnant l’exemple de la réinsertion des titutlaires du RSA dont s’est occupé une société privé, Ingeus,  « à qui le conseil général a donné 18 M€ - sans grand résultat tangible – alors que Pôle Emploi fait cela très bien » et qu’il n’a cessé de critiquer en assemblée plénière. Il a d’ailleurs expliqué que « les Hauts de Seine comme les autres départements doivent supporter des dépenses sociales qui ont été transferées (APA, RMI-RSA…) et qui ont augmentées sans compensations de l’Etat qui doit de l’argent aux départements », en suscitant des questions sur la péréquation

     

    Avec quelques tableaux, il a démontré que les Hauts de Seine était un département riche (1510 € de dépenses par habitant grâce à un budget de 2,3 millliards) avec un Conseil Général qui peut dépenser 59 M€ dans le THD (Très Haut Débit) en financant une entreprise privée, « décision que nous avons attaqué devant la justice administrative – nous attendons la décision de la Cour de Justice Européenne – alors que nous aurions pu utiliser cet argent plus intelligemment. D’ailleurs le département n’a pour l’instant donné que 5 M€, car cette entreprise n’a pas rempli toutes ces obligations. Cela aurait pu se faire sans deniers publics ». De même avec le logement où il est le plus inégalitaire de France : « On ne peut pas faire pire. On a 26% de logements dans le 92 – 23% à Vanves ce qui permet au maire de dire qu’il est dans la moyenne alors qu’il y a 16% de demandeurs de logements sociaux – dont 4% à Neuilly, 13% à Boulogne… Cela fait un nombre considérables delogements qui ne sont pas construit là où cela serait possible »

     

    Il a parlé des commissions et organismes dans lesquels il siége comme la commission consultative des Services Publics Locaux, ou les conseils d’administrations des colléges Michelet et Saint Exupery à Vanves. A propos de ce dernier il n’a pas caché qu’il a le projet d’obtenir sa rénovation compléte, 50 ans après son ouverture. « Je cherche à ce que cela soit inscrit dans le plan pluri annuel de rénovation des colléges » a-t-il indiqué en expliquant que les chiffres de la démographie scolaire montrent qu’à Vanves, le nombre d’éléves augmentent, en passant de 1350 à 1525 ses 2 à 3 dernières années. « Le collége Michelet ne peut plus recevoir de nouveaux éléves. Le collége Saint Exupery le pourrait à la condition de modifier la carte scolaire, et de refaire cet établissement. Mais il faudra qu’un certain nombre de parents vanvéens acceptent que leur enfant aillent en 6éme à St Ex » a-t-il expliqué.

     

    Il a reconnu que le rôle de l’opposition, et des socialistes, n’est pas facile au Conseil Général. « Nous arrivons à faire bouger les choses comme nous l’avons fait pour l’ESS (Economie Sociale et solidaire) en incitant le département à agir et mettre de l’argent. Patrick Devedjian explique que c’est pallier l’Etat. C’est surtout entreprendre autrement. Nous avons pu faire voter une enveloppe de 6 M€, que les marchés publics du Conseil Général comportent des clauses sociales, et qu’il y ait un appel à projet : 32 ont été retenu, 20 seront financés, 12 ayant été retiré par P.Devedjian à l’encontre de l’avis de son vice président Jea Sarkozy. Il est loin le temps où il voulait nettoyer les écuries d’Augias puisqu’il va soutenir Sarkozy aux présidentielles ». Enfin, il a conclu cette réunion en annonçant la création d’un Conseil Cantonal pour permettre à des vanvéens de travailler avec lui sur certains sujets, et l’organisation d’un voyage à Auschwitz en Avril.   

  • LA SEMAINE AGITEE DE LA SENATEUR DE VANVES AVANT L’ELECTION D’UN PRESIDENT SOCIALISTE AU SENAT

    Isabelle Debré comme ses 6 autres colléguex altoséquanais se retrouveront cet après midi dans l’hémicycle du Sénat pour procéder à l’élection d’un Président du Sénat qui sera pour la première fois de son histoire récente, socialiste. Comme l’ensemble des 348 sénateurs placés en fonction de l’ordre alphabétique, Isabelle Debré devrait se retrouver entre Annie David (FdeG/PC) et Robert Del Picchia (UMP). Elle aura participé juste avant, à 14H,  à l’ultime réunion du groupe UMP, et à 11H30 à l’émission politique de JJ Cros sur France 3 Paris Ile de France où elle doit débattre bien évidemment des élections sénatoriales et d’un Sénat tombé dans les bras de la gauche avec Catherine Tasca qui avait été tenté par une candidature à la présidence. 

     

    Mais que s’est il passé lorsque nous l’avons quitté Dimanche dernier au Conseil Général après la proclamation des résultats : « Je suis retourné au Sénat où il y avait une grande effervescence. Nous avons compté nos voix et on s’aperçu au fur et à mesure que nous perdions la majorité au Sénat. Nous étions à 2 voix de moins que la gauche. Nous avons répondu aux questions des journalistes » raconte t-elle sans dire qu’elle a été beaucoup vu sur les écrans TV en train d’embrasser le président Larcher durant ces temps difficiles. « Durant cette semaine, nous nous sommes réunis assez souvent, au niveau du groupe UMP. Nous avons élu notre président, Jean Claude Gaudin, ainsi que deux vice présidents, Catherine Treuillé et Jean Marie Buffet. C’est un petit peu la gueulle de bois dans les rangs de l’UMP. On a validée la défaite dont les causes sont multiples, perte de nombreux élus avec les élections municipales, régionales et cantonales, la réforme territoriale… Il va falloir vraiment écouter les élus de terrain, et que les décisions pour les investitures se prennent sur le terrain au niveau local, et non pas forcément au niveau national. Et que ce soit ratifié par le national après consultation certainement des élus de terrain ». Elle espére changer de commission (Sociale durant la précédente mandature). «  J’ai demandé plusieurs choses au groupe. J’ai la chance d’être écouté, et j’espére être entendue ».

  • LES SENATORIALES VANVES : LA GUEGUERRE ENTRE EX-UDF

    La politique est redoutable et cruelle, et les sénatoriales 2012 en sont l’illustration pour ceux qui ont un peu de culture historique altoséquanaise. Finalement les deux listes qui auront tenues leur réunion à Vanves, l’une conduite par le sénateur sortant Denis Badré (Modem) à l’espace Jean Monnet le 12 Septembre, et l’autre par Hugues Sirvien Vienot (DVD) aujourd’hui à 19H15 au Club Murillo, ont été animé par des ex-UDF, c'est-à-dire des élus qui étaient voilà quelque temps dans le même grand parti voulu par VGE, où se trouvaient Hervé Marseille, tête de liste NC aux Sénatoriales, Bernard Gauducheau, maire de Vanves, André Santini, député maire d’Issy les Moulineaux  lorsque l’ancien président de la République voulait faire la « nique » aux gaullistes, notamment dans l’un de ses fiefs.

     

    HERVE MARSEILLE (NC) :

    LA FORCE TRANQUILLE VERS UN SIEGE

     

    Dans la liste « Union pour les Hauts de Seine » conduite  Hervé Marseille, maire de Meudon, vice président du Conseil général, pour le Nouveau Centre, on retrouve des personnalités connues des vanvéens :  Jean Loup Metton, maire de Montrouge, Philippe Laurent maire de Sceaux, André Santini, député maire d’Issy les Moulineaux. « Des personnalités fortes de leur expérience » en matière de mandats locaux et engagées politiquement depuis longtemps » selon la tête de liste soutenue par le Nouveau Centre, les Radicaux et l’Alliance Républicaine, Ecologiste et Sociale (ARES),  qui devrait remporter l’un des 4 siéges de la majorité départementale et présidentielle. Hervé Marseille sillonne le département  jusqu’à la dernière minute, allant débattre avec les grands électeurs, lors de réunions en petits comités, sans grande messe comme à l’UMP avec Copé, larcher, Pasqua etc…Il est passé du côté de Vanves ou à proximité très discrétement pour parler de sa liste  « constituée  de personnalités qui ont de l’expérience, avec 4 maires…et. des élus engagés en politique depuis longtemps, qui ont de l’expérience. Une liste qui a une crédibilité ».

     

    Ainsi durant ses réunions, il a insisté sur 3 points : L’expérience de l’équipe, sa capacité de travailler sur des thèmes qui concernent le département, c'est-à-dire la réforme territoriale, la péréquation financière, les transports, et notamment avec le Grand Paris, le logement. Enfin, assurer la majorité au Sénat, équilibrée et permettant d’affirmer une présence au centre pour qu’elle montre sa diversité. « A tout point de vue, nous n’allons pas manquer de sujets de débats puisque le Sénat va être appelé à travailler sur des textes importants. Mais il y aura aussi des élections importantes l’année prochaine, présidentielles et législatives. Et pour poursuivre, après la campagne, le débat que nous avons entamé avec l’ensemble des grands électeurs dans les communes, nous nous attacherons à monter une organisation qui associe les élus volontaires qui désireront participer, de façon, à les informer de l’action parlementaire, mais également à recueillir en amont leurs avis, leurs expériences. Nous valoriserons ce qui se passe au plan local, car de plus en plus dans notre département, nous avons des intercommunalités qui se montent et qui ont chacune, avec leurs communes, leurs préoccupations suivant qu’elles sont dans le nord, le centre, le sud du département ».

     

     

    HUGUES SIRVIEN VIENOT (DVD) :

    LE DERNIER COMBAT MAIS PAS SI  INUTILE QUE CELA !  

     

    « Quelqu’un qui n’a pas d’ambition pour lui-même mais qui en a pour ses convictions » explique cet ex-maire adjoint de Jean Pierre Fourcade à Boulogne qui ne cherche qu’une tribune nationale pour défendre des idées auxquelles il croit, pas originales, mais qui concernent des millions de gens : « Supprimer le crédit révolving qui taxe à 27% par an des millions de gens puisque vous avez 900 000 dossiers de surendettement à la Banque de France. Et surtout lutter cotre l’échec tranquille de l’éducation nationale devant l’illetrisme et la perte des acquis fondamentaux. Entre 15 et 20% des jeunes vont être dans l’incapacité de suivre une formation professionnelle. 200 000 jeunes sortent du circuit scolaire sans diplôme, sans formation, et se retrouvent sur le bord de la route. On parle d’école de la 2éme chance, mais il faut intervenir dés le début, c'est-à-dire l’école élémentaire. Et je dénonce  l’arrêt des RASED (réseaux d’aides spécialisées aux enfants en difficulté) qui était une bonne initiative, avec ses professeurs « volants » qui intervenaient à la demande des professeurs d’écoles » explique cet édile qui a créé l’association AGIR 92 et montent des forums des métiers pour faciliter l’information des jeunes « car il faut savoir que 30% des jeunes en 3éme sont orientés et sortent du système général mais souvent par la voie de l’échec et sans faire eux même ce choix. Il faut leur donner le moyen de s’informer et ce n’est pas fait ! » explique cet homme toujours à la recherche de combats ».

     

    Evidemment ses anciens amis le classe parmi les dissidents de la droite : « Je n’ai aucun compte régler ! Je suis arrivé à un moment de ma vie où je n’ai plus de compte à rendre. Et je ne fais ni critique, ni petits commentaires sur les uns comme sur les autres. Je défends mes convictions Et je suis effectivement dissident lorsque les partis auxquels j’appartiens ne défendent pas les idées auxquelles je crois. C’est encore un problème de conviction » confiait il voilà peu à l’auteur de ce blog. « Je considére que nous sommes en démocratie et je ne vois pas pourquoi je ne me présenterais pas. Car mes convictions ne sont pas représentées par mes amis politiques. Il n’y a pas un automatisme de la ré-élection des sortants. J’ajouterai même que je me pense légitime dans cette candidature, vu cette expérience que j’ai eu de la vie économique, ayant dirigé un grand groupe international, et de la vie d’élu local : conseiller régional, maire adjoint de Boulogne  aux affaires économique lorsqu’il a fallu opérer la mutation entre le départ de Renault et la venue d’entreprises de communication » ajoutait il.